Les rendez-vous
Egoïste
Ce n'est pas égoïste, prendre soin de soi, c'est bien, c'est même très bien. Se faire du bien est faire du bien à ceux qui nous aiment, car ceux qui nous aiment, aiment nous voir bien, et ça leur fait du bien quand on est bien.
L'extrait du livre " Parfum de l'esprit "
Auteurs : Thomas Kouros Vidal
Natalia Logvinova Smalto
Le voyage
Je ne rêvais pas, mais pourtant.
Je vois la vague se précipiter vers la roche, sa mort est imminente, mais elle ne la perçoit pas comme la fin ! le souhait de retour à la mer , elle croire en cette résurrection. quelle promesse !
la neige se laisse mourir, teinte blanche, froide et glaciale, aucune chaleur. Mais ardente de sacrifice, envoûtée part la réincarnation des fleuves, limpides, le rêve du retour des nuits glaciales.
les feuilles se laissent kidnapper par le vent, le souhait d'aller loin, très loin, le rêve d'enfance et l'ivresse du départ vers l'inconnu. Légitime sentiment du voyage, le danger loyal.
L'extrait du livre "Le jardin non secret, avant l'automne "
Thomas Kouros Vidal
Ça c'est moi.
Ça c'est moi, celui qui se largue dans les bras de la vie sans aucune hésitation et laisse le vent annoncer à tous, son bonheur, ses projets. Je suis beau avec une belle journée et fou amoureux avec les larmes du ciel. Ça, c'est moi, celui qui se jette à la mer mais son cœur rêve comme la vague le retour dans les bras de la côte. Curieux de l'inconnu mais prudent et discret après sa révélation. Devant les yeux du soleil, je rafraîchis mon âme et je cherche la chaleur de mon corps sous l'emprise du cœur de la neige. Éviter les répétitions répétées et adepte des caresses en boucle des émotions.
Ça c'est moi, celui qui n'échange pas un jour de bonheur contre toute l'éternité.
Je garde en souvenir tous les moments de l'instant et me dépêche d'oublier les précédents. Je m'en courage à vivre à présent, au présent.
L'extrait du livre "Le jardin non secret, avant l'automne"
Hommage à Ebi
Thomas Kouros Vidal
Le rêve
Le ciel, immense et infini, beau, bleu, invincible, jamais crainte de tombé à terre. Il pleure avec ce nuage passager, inconnu et éphémère. Une amitié fortuite, rituel inavoué, l'absence de toucher et jamais atterrir. Je suis allé tellement loin que je ne reconnais même plus le chemin de retour. Mon ombre me quitte traitement s'il le pouvait, même mes chaussures ne me suivant plus. Les poumons chargés divers oxygènes de toute part, les yeux en pleure par la poussière des tous ces lieux. À qui dire que je ne cherche rien et je ne veux rien.
L'extrait du livre " Le jardin non secret , avant l'hiver "
Thomas Kouros Vidal